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Forum de l’Orientation professionnelle : J-3 pour la deuxième édition

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Pour mieux orienter les jeunes quant à l’orientation de leurs études et leur carrière et de leur avenir professionnel, la 2e édition du Forum de l’Orientation professionnelle va se tenir les 16 et 17 février à la Chambre de Commercer et d’Industrie d’Antananarivo  (CCIA).

Réseautage et six conférences. La programmation promet d’être diversifiée et riche en contenu. Comme lors de la première édition en 2016, les jeunes seront mis en contact avec des DRH (directeurs des ressources humaines). Une mise en réseau qui les permettra non seulement d’acquérir des astuces pratiques concernant la recherche d’emplois, mais également d’entreprendre des démarches plus approfondies comme celles afférentes au développement personnel ; car la connaissance de soi constitue effectivement une étape cruciale dans toute orientation professionnelle. En appui à ces DRH, des conseillers d’orientation viendront également appuyer les étudiants, car une insertion professionnelle réussie se prépare largement en amont de l’entrée dans la vie active. En outre, six conférences sur les secteurs considérés porteurs seront programmées durant les deux jours du salon, à savoir : celui sur les métiers des Travaux publics et des Mines, les métiers de la Banque et tout ce qui a trait aux finances, les métiers du Pétrole et de l’Energie, les métiers de l’Agro-alimentaire, ainsi que celui des Télécommunications. Par ailleurs, autre fait intéressant à signaler, la considération des métiers de la Recherche scientifique et des métiers de l’Humanitaire comme présentant des débouchés et de réelles opportunités de carrière. Pour ceux qui veulent réussir leur insertion professionnelle, rendez-vous est donné les 16 et 17 février prochain à la CCIA Antaninarenina !

Luz Razafimbelo


Sport au baccalauréat : Parents, écoles, enseignants et candidats sont tous responsables !

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Nous avons pensé faire cet article  quatre  mois au moins avant les épreuves de sport afin de conscientiser les candidats au baccalauréat de cette année !

Normalement les dossiers doivent être fins prêts et les choix faits concernant les examens du baccalauréat. Les séries sont définies, les choix de disciplines de sport établis. Il ne reste qu’à se préparer pour cette ultime épreuve de sport ainsi qu’à attendre les convocations.

Quel que soit le choix des épreuves, chaque candidat aura à courir 800m pour les filles ou deux tours du terrain de Mahamasina et 1500m pour les garçons. Il s’agit de l’épreuve qui fait faire des cauchemars à nos jeunes. « Finirai-je la course ? » « Est-ce que je ne vais pas m’évanouir ? » Car chaque année, l’on déplore les jeunes qui s’évanouissent en cours du 800m ou à l’issue des tours de terrain.

Les enseignants d’EPS devront conscientiser ces jeunes sur le côté préparation de cette discipline. Cela se gère dès maintenant. Des petites distances de 2km tous les matins pour apprivoiser le corps et perdre le gras qui freine ? Cela s’apprend. Les enseignants d’EPS aussi sont responsables des choix de leurs étudiants. Quand ils ont des lycéens qui choisissent le marteau ou la natation aux épreuves individuelles, ils doivent leur apprendre à lancer le marteau ou à nager. Car il n’y a rien de plus honteux, de triste et d’aberrant que de voir des  jeunes qui ne savent même pas servir au volley, ou qui marchent carrément au basket. Ces enseignants de sport sont aussi tributaires de réussite de leurs élèves à ces disciplines- là ! Ils doivent les accompagner tout au long de l’année, les former. Leur inculquer le minimum en sport, du genre mettre des chaussures de sport, ou encore des tenues de sport adéquates. Ils sont en contact permanent avec eux.

Le fait de voir une élève courir en tenant son short, car l’élastique ne tient pas, ou de mettre des sandales et non des chaussures de sport en courant, cela relève de l’éducation en sport qu’on leur inculque. De même, se maquiller comme pour aller au bal, avoir des cheveux pleins la tête et non lestenir par un ruban… autant de petites choses qui démontrent le manque de maturité de l’école, de l’enseignant, des parents et des jeunes. Enfin pour conclure, sachez que le coefficient est de 2 ce qui sauve beaucoup de choses aux examens et qu’une note de 0 est éliminatoire. A bon entendeur…

Anny Andrianaivonirina

Hôtel Panorama : Rencontre DGI – Experts- Comptables hier

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Le DGI, Razafindrakoto Iouri Garisse et le Président de l’OECFM, Rajerinalina Jaona Ely lors de la rencontre entre les deux entités hier, à l’Hôtel Panorama.

Après la rencontre avec les opérateurs et celle avec les simples contribuables à la Chambre de Commerce et d’Industrie fin janvier 2018, c’était au tour de l’Ordre des Experts- Comptables de Madagascar (OECFM) de se réunir avec la Direction Générale des Impôts hier à l’Hôtel Panorama.

La DGI poursuit sa campagne d’information et de formation suite aux récentes modifications fiscales contenues dans la Loi de Finances 2018. Lors de l’ouverture de la séance, le Président de l’OECFM, Rajearinalina Jaona Ely, a rappelé l’attribution principale des experts comptables qui est d’appliquer la loi et de sensibiliser les contribuables à faire de même. Il s’est inscrit en faux contre le prétendu conflit permanent entre experts comptables et agents du fisc dans l’interprétation de la loi fiscale. D’ailleurs, a-t-il ajouté, les premiers ne pourraient exercer leurs fonctions sans l’aide des seconds et vice versa.

Deux options. Avec le nouveau régime fiscal, les experts- comptables ainsi que les inspecteurs des impôts trouvent leur compte dans le sens où une société a deux options : la première, c’est d’être soumise à l’Impôt Synthétique (IS), donc avec un chiffre d’affaires inférieur à Ar 100 millions, ce qui implique une modification du seuil d’assujettissement à la TVA. La seconde option est d’être assujettie à l’impôt sur les revenus, donc avec le seuil supérieur à Ar 100 millions. C’est en résumé l’une des principales modifications en matière d’impôts dans la LFI 2018, selon le Directeur Général des Impôts Razafindrakoto Iouri Garisse. Lequel a précisé dans la foulée que les textes d’application y afférents seront disponibles incessamment afin d’atteindre les prévisions fiscales pour cette année qui est de 2735 milliards d’Ariary.

Fonctions régaliennes. Répondant aux questions des journalistes sur la suspension des vérifications fiscales, le Directeur général des Impôts a tenu à préciser que les procédures ont repris et que des résultats probants seront attendus d’ici peu. En ce qui  concerne  l’affaire AMETIS, il a tenu à souligner que les fonctions régaliennes relèvent de l’Etat. Non sans ajouter que le fait de prendre une société prestataire entre dans le cadre des 3P ou Partenariat-Public-Privé. « Les droits de visa sont reversés en totalité à la DGI », a-t-il assuré, en marge de cette rencontre avec les experts comptables qui témoigne de l’esprit de dialogue de l’administration fiscale.

R.S

Nécrologie du 14 février 2018

Union Africaine – Ceni : « Une mission d’évaluation des besoins électoraux » cette semaine !

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« Les activités en cours de la Ceni, les cadres de concertation et le cadre légal des élections », ont été les points focaux de la réunion entre la Commission Electorale et la délégation de l’Union Africaine.

L’Union Africaine, comme ses pairs de la communauté internationale, réaffirme sa détermination ou son implication (c’est selon) dans le processus électoral malgache. Hier, une délégation de l’Union Africaine, conduite par Hawa Ahmed Youssouf, la représentante spéciale du président de l’UA à Madagascar a effectué une visite suivie d’une réunion au siège de la Ceni (Commission Electorale Nationale Indépendante) à Alarobia avec les membres du bureau permanent de cette dernière. Notons au passage que cette visite et cette réunion s’inscrivent dans le cadre de la mission dite « d’évaluation des besoins pour les élections à Madagascar ». Par rapport aux « besoins », pour reprendre les termes utilisés, Ernest Razafindraibe, un des rapporteurs généraux de la Ceni, a fait savoir au téléphone que « l’Union Africaine souhaite apporter son assistance à la Ceni pour que cette dernière puisse mener à bien sa mission ». Interrogé sur l’aspect de cette « assistance » si cela concernerait la sortie du calendrier électoral par le gouvernement et/ou l’exigence d’une autonomie financière, le même rapporteur a négativement répondu que « les questions relatives au calendrier électoral et à l’autonomie financière de la Ceni n’ont point été soulevées durant la réunion. Néanmoins, il est loisible de préciser que la Ceni se dote d’un document qui contient ses besoins et qui sera présenté vendredi prochain ». Vendredi, c’est la fin prévue de la mission de cette délégation de l’Union Africaine, et ce, une fois que les rencontres avec les acteurs électoraux auront été effectuées.

Aina Bovel

Oncologie pédiatrique : Trois nouveaux cas diagnostiqués par semaine

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Le cancer chez l’enfant se détecte à partir de son troisième mois. Le service d’oncologie pédiatrique d’Antananarivo est le seul de ce genre dans la Grande-Île.

Les enfants de 0 à 15 ans sont les principaux patients du service d’oncologie d’Antananarivo. Sis au CHU-JRA ou Centre Hospitalier Universitaire-Joseph Ravoahangy Andrianavalona, le service traite les cancers des enfants depuis le 3 juillet 2017. Interrogé sur les statistiques enregistrées, Mbola Rakotomahefa, chef dudit service de faire savoir que «le service d’oncologie pédiatrique d’Antananarivo accueille actuellement environ deux à 30 patients». Avant d’ajouter que «15 d’entre eux sont qualifiés d’hôpitaux de jour – c’est-à-dire les patients qui ne viennent suivre leur traitement que les jours (chimiothérapie effectuée par semaine par exemple)». Le chef du service d’oncologie pédiatrique auprès du CHU-JRA d’enchérir que le «service enregistre trois nouveaux cas par semaine depuis sa création».

Traitement. La durée du traitement des cancers varie selon le type. Le Dr Mbola Rakotomahery d’expliquer que, pour le type cancer hémopathie, cela peut prendre jusqu’à deux ans, tandis que pour le cancer des reins par exemple, le traitement peut être effectué en quatre mois. Par ailleurs, il convient de noter que l’État prend en charge cinq types de cancer des enfants. «Prise en charge effectuée grâce à la collaboration de l’État et ses partenaires (nationaux ou internationaux)» selon les dires du chef de service d’oncologie pédiatrique auprès du CHU-JRA. «Pour les cancers ne faisant partie de la liste, les familles doivent prendre en charge la totalité du traitement» a ajouté le médecin. Il convient de noter que le coût du traitement du cancer est assez élevé et que pour les nombreuses familles malgaches (moyennes, si l’on peut encore le dire ainsi étant donné la situation actuelle) ont dû mal à assurer le traitement de leur malade. La gratuité du service d’oncologie pédiatrique contribue à donner aux enfants malades du cancer une chance d’échapper à leur maladie… de continuer à vivre comme les autres enfants en bonne santé.

José Belalahy

Vol à la roulotte à Diégo : Arrestation de Jean Romain, un redoutable malfaiteur

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L’homme a  30 ans et est  spécialiste en mécanique. Il a dévalisé  plusieurs  voitures  stationnant  sur la rue Justin Bezara et  sur la rue La Fayette. Il ouvrait le véhicule durant l’absence de son propriétaire et prenait  tout ce qu’il trouvait, argent, sac ou auto  radio. Fin janvier, de beau matin Jean Romain a enfin été arrêté par les éléments  de la  FIP  à son domicile dans le quartier « l’Apéro Technique ». Selon  nos informations, ce sont les renseignements fournis par des citoyens du quartier qui ont permis à  la police de le localiser. Lors de l’enquête, il a plaidé coupable et a raconté en détail son mode opératoire.  Il a sévi  sur l’axe de la rue La Fayette. Il a par exemple brisé la glace d’une voiture stationnant  en face de l’église Anglicane.  Il s’est emparé d’une somme de 5 millions d’Ariary, puis il s’est ensuite attaqué à un véhicule garé en face de la boulangerie Mouna Glace où il a trouvé  des devises et  des ariary. Il opérait, dit-il, tout seul. Les enquêteurs ont été sidérés par l’habileté dont il faisait preuve pour détacher les auto radios. Le malfaiteur a  été déféré le 7 février au parquet.

C. Angeline

Global Startup Week-end Women : Destination Paris pour l’équipe gagnante

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L’équipe gagnante avec le Lead Organizer Carole Rakotondrainibe.

Global Startup Weekend Women est une initiative internationale menée par Paris, ayant pour objectif de favoriser des actions entrepreneuriales plus diversifiées et inclusives, et de valoriser l’impact des femmes dans l’entrepreneuriat.

Elles s’appellent Yaoudah Tiandranahary, Hoby Olive Rakotosoa et Hoby Ravelomanantsoa. Elles, ce sont les gagnantes de la première édition de Global Startup Week-end Women Antananarivo 2018 qui s’est déroulée à la l’American Center les 9 ; 10 et 11 février derniers. Elles ont mis en compétition le projet Ny Ahy qui consiste en la création d’une gamme de produits de maquillage pour les peaux métissées et noires.

Paris. Un projet très bien monté et qui permettra aux trois membres de l’équipe gagnante de s’envoler pour Paris en vue de la prochaine étape. Ce sera en début du mois de mars pour la grande finale internationale de Global Startup Women où nos trois startupeuses vont se confronter avec des équipes émanant d’une vingtaine de pays.  Une finale à ne pas manquer puisqu’il s’agit d’un des rares rendez-vous de promotion des « startup », de création d’un écosystème international pour les entrepreneures et les femmes. En tout cas, les participantes malgaches ont fait preuve d’une performance exemplaire en ayant réussi à présenter des  projets inspirants, innovants et extraordinaires en seulement 54h.

 Guest Speaker. Une prouesse également pour l’équipe organisatrice, menée par  Carole Rakotondrainibe, une Lead Organizer au grand talent ; et qui,  seulement en quatre semaines, a pu gérer avec succès ce concours qui a vu la présence de 25 participants effectifs répartis en 7 équipes projets. La réussite de ce Startup Women est aussi à mettre à l’actif de sponsors et partenaires. Pour ne citer, entre autres que le CEO du groupe Axian Hassanein Hiridjee, le Guest Speaker qui est venu soutenir l’événement lors de la soirée inaugurale, où il a partagé  son vécu, ses visions, son optimisme pour l’entrepreneuriat à Madagascar et à l’occasion de cet évènement: l’entrepreneuriat au féminin. Pour en revenir  au concours, SARA, une société de collecte de distribution de légumes et de fruits frais est arrivée en 2è position tandis que Yumicius, un projet de production de brownies – minutes fait maison a décroché la 3è place. Enfin, le coup de cœur du jury est revenu à ZARIZEN, le projet de potagers d’intérieur intelligents et écologiques.

R.Edmond


« Hetsiky ny Mpitondra Fivavahana » : Pour la dépolitisation des forces armées

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Après avoir observé le silence depuis un certain temps (2014), le « Hetsiky ny Mpitondra Fivavahana » refait surface. Le mouvement eccclésiastique dirigé par les pasteurs Ramamonjisoa Philibert, Randriamisata Roger et Rafanomezantsoa Maurice de Dieu, a notamment parlé des affaires nationales, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue, hier, au restaurant Planète, à Ambohijatovo. Le mouvement des ecclésiastiques est ainsi pour la dépolitisation des forces armées tout en soulignant au passage que ces dernières ne devraient pas avoir de coloration politique. Il s’est adressé également à la justice qui devrait juger en toute équité.

Injustice sociale. Les politiciens n’ont pas aussi échappé à la règle. « Ils ne devraient pas profiter de leur pouvoir pour exploiter les faibles et le peuple qui sont dans l’extrême pauvreté mais trouver des solutions pour les sortir de leur situation actuelle ». Le mouvement des dirigeants religieux semble être déterminé à combattre l’injustice sociale sous toutes ses formes. Il déplore égalemnt ce qu’il qualifie de malaise général qui règne dans le pays. Par ailleurs, le « Hetsiky ny Mpitondra Fivavahana » se dit prêt à apporter son concours pour la concrétisation de la réconciliation nationale.

Dominique R.

Judo : Trois compétitions ce week-end à Mahamasina

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Les acharnements s’annoncent intenses au Petit Palais à Mahamasina.

La saison 2018 sera ouverte officiellement à travers l’organisation du championnat national vétéran et du kata. Une compétition qui se disputera vendredi et samedi à la salle du Petit Palais à Mahamasina.

Une ouverture de saison bien chargée. Plusieurs compétitions attendront les férus du judo vendredi et samedi à Mahamasina. Il s’agit du championnat national vétéran, sommet national kata, challenge des ceintures marrons et noires et le Kagami Biraki.

Après le succès de la première édition en 2017, la fédération malgache de judo en collaboration avec la ligue Analamanga et le club Hakudokan renouvelle l’exploit. La seconde édition du sommet national kata attend la participation d’une vingtaine de couples. Il s’agit du Nage Kata  réservé aux ceintures marrons et plus. Il est à signaler que Zo et Ony du JCSM sont les tenantes du titre. La course est également ouverte pour succéder à Arsène et Dera du JCSM en Katame no kata où seuls les 1ers dans et plus peuvent participer. Dans ce kata, les Malgaches ont remporté l’or au Championnat d’Afrique à domicile au mois d’avril 2017. Si l’accent a été concentré sur les jeunes auparavant, le championnat national vétéran sera réservé aux combattants de plus de 30 ans. Ils seront répartis en 11 catégories en fonction de leur âge respectivement chez les hommes et les dames. Mais la nouveauté est le challenge des ceintures marrons et noires. Le challenge concerne les plus de 15 ans dans la catégorie des moins de 73 kg et plus de 73 kg chez les hommes et les moins de 57 kg et plus de 57 kg pour les femmes.

Kagami Biraki. Comme le judo est une discipline japonaise, la grande famille du judo malgache célébrera le « Kagami Biraki 2018 » ou le nouvel an dans la tradition japonaise à cette occasion. Une cérémonie qui sera honorée de la présence de l’Ambassadeur du Japon, Ichiro Ogasawara. Ce diplomate japonais qui est un judoka ceinture noire 1er dan kodokan. Lui qui a beaucoup œuvré pour le judoka malgache. Tout récemment, quatre judokas malgaches sont partis au Japon pour suivre un stage en vue de la préparation des Championnats d’Afrique de Tunis dans le cadre du partenariat entre l’Etat malgache et celui japonais. Au mois d’avril, deux judokates vont poursuivre leurs études au Japon pendant trois ans.

T.H

Art contemporain : Le concours Paritana à sa dernière ligne droite

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L’exposition prendra fin le 23 février.

Depuis lundi, le concours d’art contemporain Paritana est à son épicentre. Les dix finalistes exposent leurs œuvres à l’Institut français à Analakely. Photographie, sculpture, bande dessinée, dessin, peinture numérique… tout se dévoile.

L’art contemporain malgache bouge d’un ton. Le concours Paritana à son épicentre, les finalistes se dévoilent à travers l’exposition à Analakely. En attendant de savoir les trois lauréats du concours le 21 février, le public a le loisir de découvrir chaque artiste et en juger de leurs talents.

Rassemblant des artistes de différents horizons, le choix s’avère difficile pour le jury. Si les artistes  comme Mahefa Rasamuel, Donn et Dwa sont déjà précédés d’une notoriété dans le milieu, les jeunes talents à l’instar d’Inès Ramerison, Richianni et Nary Arthur ne déméritent pas.

Artistes éclectiques, chacun de ces finalistes est susceptible de succéder à Temandrota, le lauréat de la première édition. Effectivement, ce prix a été destiné à valoriser et soutenir des artistes en matière d’Art contemporain. Le but est de contribuer à la dynamique créatrice de la scène artistique malgache et permettre à l’artiste le plus talentueux d’exposer à l’étranger. Un soutien en faveur des entreprises culturelles francophones et pour le renforcement des capacités des artistes. A titre de rappel,  le lauréat se voit décerner une résidence de trois mois, suivie d’une exposition personnelle à la Cité internationale des Arts à Paris, tandis que le deuxième et troisième prix sont respectivement constitués par une bourse d’aide à la création et une dotation en matériel.

Les finalistes exposant à l’IFM Analakely

Andriamialison Njaratiana Antonio, Donn (peinture-sculpture)
Andriamiarintsoa Fabio Thierry (photographie)
Andriantsialonina Eric, DWA (BD)
Nary Arthur (dessin)
Raherinjatovo Richianny (dessin)
Rajaobelina Liva Marc (BD)
Rajerisaona Jean, Jerwy (peinture numerique)
Ramerison Cadillac Ines (plasticienne)
Rasamuel Mahefamamy (peinture)
Razafindrakoto Mamy Nirina, TangalaMamy (photographie)

Zo Toniaina

Gare routière d’Ambodivona : Les coopératives réticentes pour Andohatapenaka

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«Toutes les conditions ne sont pas encore réunies pour le transfert des coopératives de transport dans la nouvelle gare routière d’Andohatapenaka». Ce sont là les propos d’un responsable de coopérative sise à Ambodivona en réaction au communiqué conjoint du ministère des Transports et de la Météorologie et de l’Agence des Transports Terrestres du samedi 10 février 2018. Interrogé sur la question, Dédé, président de la coopérative Vatsy de rapporter – sans apporter plus de précision – que «le transfert des coopératives vers la nouvelle gare routière d’Andohatapenaka est impossible pour le moment». Réticentes au transfert en question, les coopératives ont avancé quelques arguments. Entre autres, «le manque  manifeste de sensibilisation autour de l’initiative (aussi bien pour les transporteurs que pour leurs clients)». Les responsables des coopératives ont également avancé le problème lié au futur gérant de la gare routière. Par ailleurs, une réunion réunissant les responsables auprès du Ministère des Transports et de la Météorologie ainsi que ceux auprès des coopératives concernées s’est tenue à Anosy hier. Aucune information n’est toutefois pas sortie jusqu’à l’heure où nous rédigeons. Il convient de noter que le communiqué publié samedi dernier fait savoir que «la vente des tickets ainsi que le ramassage des voyageurs sont interdits dans les gares routières habituelles (dont Ambodivona) à partir du 14 février 2018». Un état qui risque d’être impossible vu la vive réaction des coopératives. Ce, malgré l’opérationnalisation de la Gare routière d’Andohatapenaka qui a été prévue pour le 28 janvier 2018.

José Belalahy

Orientation professionnelle : J-2 pour la deuxième édition du forum dédié

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Ange Rakotomalala responsable au sein de l’AUF, Jean-Luc Ramamonjiarisoa, président de l’Association des DRH de Madagascar et Sylvie Kananura, Directrice de Campus France Madagascar.

La 2e édition du Forum de l’Orientation professionnelle va se tenir les 16 et 17 février à la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Antananarivo (CCIA).

D’ateliers en conférences. Le forum sera organisé en trois espaces, selon les dires de l’équipe organisatrice, lors d’une conférence de presse hier. Il y aura ainsi l’espace « ateliers » incluant des travaux pratiques et dirigés en plus ou moins petits comités (15 à 40 jeunes), mais il y aura aussi des entretiens individuels (de cinq à 10 min) avec des directeurs des Ressources humaines (DRH),  qui donneront un aperçu aux étudiants des réalités vécues dans le monde de l’entreprise. D’ailleurs, l’association des DRH de Madagascar, dirigée par Jean-Luc Ramamonjiarisoa, sera représentée durant les deux jours du forum, pour accompagner les étudiants et leur famille, attendus nombreux. En outre, il y aura également six conférences au programme, toujours dans le souci de combiner à la fois l’approche académique et professionnelle, autant par le panel des intervenants que des activités. Le travail est un facteur puissant d’épanouissement personnel, autant réussir son entrée dans la vie active, mais cela se prépare. Rendez-vous au Forum de l’Orientation professionnelle au CCIA les 16 et 17 février prochains.

Luz Razafimbelo

Ambatomainty : Lasan’ny jiolahy mitam-basy hatramin’ny peratra mariazy

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Tsy nisy namelan’izy ireo mihitsy izay entana azo nobataina tao an-trano. Hatramin’ny peratra volamena izay peratra mariazy aza dia nasaina nesorina teny amin’ny ratsan-tanan’ny tompon-trano. Teny Ambatomainty no nitranga ny fanafihana ny alin’ny talata teo. Enin-dahy ny tompon’antoka tamin’izany ary nitondra poleta roa. Nambanana tamin’ny basy ny olona tao an-trano rehefa avy novakiana ny varavarana mba hahatafidirana tao anatin’ilay tokantrano. Tsy nisy namely ny rehetra noho ny fisian’ny fitaovam-piadinana nentina nandrahonana azy ireo. Ireo enin-dahy rahateo toa tena vonona ny hamono ny endriny sy ny fihaviny. Lasa tao anatin’ity fandrobana mitam-basy ity ny vola mitentina 3.4 tapitrisa ariary izay notahirizina tao an-trano. Tsy nionona tamin’ny vola ireo olon-dratsy satria mbola nobatain’ireo koa izay nifanandrify tamin’ny masony ka hitany fa mety ho lafo vidy. Nobataina ny solosaina telo, ny gitara eletrika, ny fakan-tsary ary koa ny peratra volamena, arak’izay voalaza etsy ambony. Ny zandary eo anivon’ny kaompania Tana-Ville no miandraikitra ny famotorana. Etsy andanin’izay, mbola nisy fanafihana mitam-piadiana iray hafa koa tetsy Antsahakely, kartie iray eo anivon’ny boriborin-tany fahatelon’ny kaominina Antananarivo. Io indray dia mpivarotra no notafihan’ny enin-dahy izay samy mitazona basy PA iray avy. Mazava hoazy fa tsy misy na inona na inona azo natao ankoatry ny nanaraka ny baikon’ireo olon-dratsy. Lasa ny vola mitentina 1.4 tapitrisa ariary izay vidin’ny entana lafo tamin’iny andro iny. Lasa koa ny findain’ny mpivarotra sy ny kara-panondrony. Mitady hissy indray ny fanafihana mitam-piadiana eto an-drenivohitra satria alina roa misesy izany no nisy toerana roa voatafika. Ny mampitovy azy dia samy enin-dahy hatrany ny nanatontosa ny fanafihana.

D.R

Emilhiot Marozara : Pour une prestation de serment sur les tombeaux familiaux !

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Emilhiot Marozara propose donc que ceux qui doivent prêter serment avant d’entrer en fonction le fassent sur leurs tombeaux familiaux.

Des détournements de deniers publics, des cas flagrants de corruption, de vol, d’absence d’intégrité morale, mauvaise gouvernance et la liste est loin d’être exhaustive. Nonobstant le fait que les dirigeants ont effectué, avant leur prise de fonction, une prestation de serment, trouvent-ils toujours un moyen d’en faire une dérogation.

Basta ! C’est bien le mot qui pourrait décrire ce que ressent le peuple à l’égard des autorités. Il ne se passe, un jour, sans que ces dernières éprouvent le besoin d’enfreindre une loi ou un règlement. Ce ne sont pas les illustrations qui manquent et pour preuve, la dernière en date n’est autre que l’affaire des sommes exorbitantes des marchés publics de l’année 2016. Et pourtant, avant de prendre leurs fonctions, certaines d’entre ces autorités prêtent serment, en l’occurrence, le président de la République, les magistrats, ou encore les médecins. Un homme ou femme de pouvoir levant la main droite et mettant la main gauche sur un Livre Saint, puis prononcer le serment, c’est un geste qui ne passe pas inaperçu. Mais après, on se demande comment trouvent-elles, ces autorités, un moyen d’en faire une dérogation ?

Les « Razana ». Emilhiot Mamy Marozara, directeur administratif et financier de la Société Eosol Madagascar, un des 25 promus de la 13e promotion du programme « Youth Leadership Training Program » (YLTP) de la fondation Friedrich-Ebert Stiftung (FES) propose une autre alternative. « Approfondissons notre culture et nos valeurs », affirme-t-il. Que veut-il dire donc ? « Le peuple malgache a toujours affirmé sa croyance et son respect envers les ancêtres, les ‘Razana’. Ils font partie de notre culture. C’est la raison pour laquelle je propose à ce qu’on abandonne la forme de prestation de serment habituelle par laquelle on ne se sent pas véritablement engagé. Qui parmi nous oserait ne pas respecter sa parole après avoir juré sur la tête de ses ancêtres ? Personne ne souhaite s’attirer la foudre des ‘Razana’ », explique-t-il.

« Loi Marozara ». Emilhiot Marozara souhaite donc à ce que cette nouvelle alternative acquière rapidement une force juridique. « La plupart des gens avec qui j’ai débattu à propos de ce sujet ont suggéré à ce qu’on le transforme en une proposition de loi dite « Loi Marozara », a-t-il indiqué. A cet effet, il exhorte les législateurs à considérer cette proposition, à la transformer en une proposition de loi et à la voter pour qu’elle puisse être en vigueur et changer la donne. « Souhaitons qu’elle soit votée avant la présidentielle de 2018 pour le président de la République nouvellement élu soit le premier à l’étrenner », souligne-t-il au passage. Etant donné que cette proposition revêt un caractère transversal, quelques amendements de certains textes devraient avoir lieu, « selon les fonctions et les responsabilités nécessitant une prestation de serment », pour reprendre les termes d’Emilhiot Marozara. Il s’agit, en l’occurrence, de l’article 48 de la Constitution. « Pour les autres fonctions, on peut cadrer la prestation de serment dans une loi organique ». A suivre.

Aina Bovel


Infections du jeune enfant à Madagascar : Incidence 40 fois supérieure à celle observée aux Etats-Unis !

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Un peu moins d’un millier d’enfants à Antananarivo et à Moramanga ont été suivis dans le cadre du programme BIRDY, initié par l’Institut Pasteur de Madagascar (IPM) en 2012, dont l’objectif est de documenter, en milieu communautaire, les infections néonatales, et d’évaluer l’état de la résistance aux antibiotiques ainsi que leurs conséquences médicales et économiques.

17,7 pour 1.000 naissances vivantes. Tel est le taux d’infections néonatales confirmées chez les nouveau-nés. Un taux annoncé dans le cadre du programme BIRDY, initié par l’IPM, dont les résultats ont été restitués hier. Ce taux atteint quasiment les 36 ‰, soit, 35,8 pour 1.000 naissances vivantes, si l’on tient compte des cas d’infections néonatales probables. Une incidence extrêmement élevée dans la mesure où elle est 40 fois supérieure à celle observée aux Etats-Unis. 75% de ces infections surviennent au cours de la première semaine de vie du nouveau-né.

 Prise en charge. Dans le cadre de cette recherche, 394 nouveau-nés ont été suivis sur un site urbain à Antananarivo et 587 en milieu semi-rural à Moramanga, soit un total de 981. Tous les bébés ont bénéficié pendant leurs premiers mois de vie d’un suivi actif, notamment par le biais de visites régulières à domicile et d’une prise en charge rapide en cas de suspicion d’infection. « Nos résultats soulignent l’importance de renforcer le suivi et la prise en charge au niveau communautaire autour de l’accouchement. Il faut avoir à l’esprit que plus d’un tiers des femmes de notre cohorte ont accouché à domicile » explique Bich-Tram Huynh, chercheuse dans l’unité de pharmaco épidémiologie et maladies infectieuses de l’Institut Pasteur et co-principal investigateur du programme BIRDY.

Multirésistante. L’incidence des infections bactériennes multi résistantes a été estimée à 7,7 cas pour 1.000 naissances vivantes. Ainsi, sur ce plan, la situation peut encore être remédiée. « C’est la toute première fois que ce taux est estimé en milieu communautaire. Ces résultats préliminaires relativement modérés au regard de ce que nous attendions, s’ils se confirment, indiquent qu’il est encore temps de mettre en place des interventions pour limiter la diffusion de ces bactéries multi résistantes en communauté », a affirmé à ce sujet Jean-Marc Collard, chef de l’unité de bactériologie expérimentale à l’IPM et co-principal investigateur du programme BIRDY. « Cependant, les analyses bactériologiques ont montré que 70% des pathogènes retrouvés chez les nouveau-nés étaient résistants à au moins un des deux antibiotiques (ampicilline et gentamicine) actuellement recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé pour traiter ces infections », a-t-il été précisé.

Phase 2. Une seconde phase du programme (projet BIRDY 2), débutera au deuxième semestre de cette année 2018 pour une durée de trois ans. Ce nouveau projet va mettre en œuvre une approche « One Health » pour étudier de façon globale la transmission des bactéries multi résistantes. « Nous allons affiner notre estimation de l’incidence des infections néonatales et étudier l’acquisition des bactéries multi résistantes chez les nouveau-nés, qu’elles proviennent de la mère ou de l’environnement. Nous allons également nous intéresser à la prématurité pour essayer de comprendre ce qui la déclenche et quelles sont les conséquences sur le développement de l’enfant », explique Perlinot Herindrainy, coordinateur du programme et épidémiologiste à l’IPM. En effet, les complications dues à une naissance prématurée sont en cause dans plus de 27% des décès chez les nouveau-nés.

Rappelons que le programme BIRDY est également mené, depuis 2014, au Sénégal et au Cambodge.

Recueillis par Hanitra R.

Grippe : Attention à l’automédication

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L’épidémie de grippe qui sévit ces dernières semaines est particulièrement virulente. Il est recommandé de consulter, notamment lorsqu’il s’agit d’enfants, afin d’avoir accès à un traitement adéquat et efficace, avisent les médecins, et ne pas recourir à l’automédication. Cette pratique, très répandue à Madagascar pour ce type de maladie, pourrait retarder la guérison, voire aggraver l’état du malade.

Hanitra R.

Une équipe plus soudée pour avoir des résultats

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La réunion organisée dans la résidence présidentielle à Mantasoa ou « Team building » a permis de resserrer les rangs d’une équipe, de l’avis de tous, démotivée. Bien qu’elle se soit tenue à huis clos, on peut se douter de la manière dont le chef de l’Etat et son chef de gouvernement ont mis les pendules à l’heure. L’échéance de l’élection présidentielle est très proche et tout doit être fait pour mettre en avant des résultats.

Une équipe plus soudée pour avoir des résultats

Tous les analystes politiques ont mis en exergue le bilan peu reluisant de l’action de l’équipe gouvernementale. Les remarques ironiques qui ont accompagné les couacs observés au sein de l’Exécutif ont poussé le régime à essayer de redorer son image. Les dissensions qui ont été révélées au grand jour ont obligé le président et son Premier ministre à redéfinir les objectifs à atteindre. Ces derniers ont tout fait pour que les ministres soient conscients de leurs responsabilités. Certains commentateurs parlent de la nécessité de former une équipe performante. Le chef de gouvernement a nié l’existence de toute friction avec des membres de son entourage. Mais au-delà de ces propos de circonstance, on a perçu un certain agacement après ce qui a été considéré comme une tentative de l’évincer. Aujourd’hui, tout est fait pour qu’une équipe soudée soit constituée. Le remaniement annoncé à plusieurs reprises est donc inévitable. Néanmoins, cette volonté de mettre les bouchées doubles n’arrive-t-elle pas trop tard ? Les préparatifs en vue de l’élection présidentielle nécessitent une mobilisation intense. Ils doivent être appuyés par des résultats probants de l’équipe au pouvoir. Certains partisans du régime n’hésitent pas à critiquer des membres de l’équipe gouvernementale, accusés de tiédeur dans leur soutien au président de la République. Ils leur reprochent leur opportunisme. A présent, la situation est en train de s’éclaircir pour le régime. Il est prêt à repartir sur de nouvelles bases pour essayer de convaincre la population.

Patrice RABE

Maladies oculaires : La rétinopathie diabétique touche de plus en plus de Malgaches

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Sis au CHU-JRA le Lions Sight First accueille des patients venus des régions de la Grande Ile.

A l’instar de la cataracte, la rétinopathie diabétique peut entraîner la perte totale de la vue.

Si pour beaucoup de Malgaches, les maladies des yeux se résument à la cataracte, la rétinopathie diabétique occupe de plus en plus de terrain. Maladie qui touche spécialement les personnes diabétiques, cette pathologie présente des symptômes particuliers tels que des corps flottants, en effet de flou, des zones sombres au niveau de la vision ou encore des difficultés oculaires dans la perception des couleurs. La maladie est présente dans la Grande Île où le nombre de diabétiques ne cesse de croître. Olivier Rabenjamina, président du Lions Sight First Madagascar a affirmé lors d’une interview effectuée au CHU-JRA, mardi 13 février 2018, que « la maladie peut entraîner la cécité si elle n’est pas traitée à temps». Avant d’ajouter que «le traitement est un peu compliqué étant donné que la maladie concerne les diabétiques, il faut prendre en compte les paramètres tels que les tensions artérielles, le taux de cholestérol ou encore le taux de glycémie du ou de la malade ». Par ailleurs, le traitement de la rétinopathie diabétique peut être pris en charge auprès du LSF Madagascar. Une initiative que l’organisme a commencé à mettre en œuvre il y a de cela une année selon toujours les dires du président du LSF Madagascar.

Coût. Le traitement des maladies oculaires n’est pas chose facile du point de vue financier pour les familles malgaches. Comme l’a fait savoir Olivier Rabenjamina: « Nécessitant des opérations, le traitement des maladies oculaires est coûteux ». Avant de renchérir que « cela peut aller d’un millier à des millions d’ariary ». Ce qui n’est pas toujours évident pour de nombreuses familles malgaches. Et pour les aider, le LSF Madagascar a opté pour la réduction considérable des coûts de traitement. Olivier Rabenjamina de s’expliquer « le coût moyen d’une opération de la rétinopathie est de 400.000 ar ». Le numéro Un du LSF Madagascar d’ajouter que « ;le coût peut aller jusqu’à 10.000 ar pour les familles très nécessiteuses». Une façon pour cet organe d’aider les familles qui sont dans les besoins.

José Belalahy

Nosy-Varika : Vono olona tao Ambodilafa, Ben’ny tanàna iray voasambotra

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Taorian’ny fitsaram-bahoaka nitranga tao Havohitrandriana Kaominina ambanivohitry Ambodilafa, Distrikan’i Nosy Varika, ny 31 Janoary lasa teo, ka nahafaty tsy tra-drano notetitetehan’ny olona tamin’ny antsibe ny jiolahy iray voasambotra tamin’ireo dimy nitam-piadiana nanafika mpivarotra iray tao Ambodilafa, ny alin’ny 27 Janoary, izay nahaverezana vola 3,4 tapitrisa Ariary sy nahafaty ny zanaky ny tompon-trano, dia nosamborin’ny mpitandro filaminana avy ao Mananjary ny Ben’ny tanànan’ Ambodilafa, Firaisamanana Victor Richard, ary naiditra “violon” ny 08 Febroary. Narary mafy tsy nahatsiaro tena ity olom-boafidy ity, ny asabotsy teo, ka tsy maintsy naiditra hopitaly ary mbola manaraka fitsaboana ao amin’ny hopitaliben’i Mananjary hatramin’izao, miandry ny fotoam-pitsarana azy rahampitso zoma, raha ny loharanom-baovao voaray. Manoloana an’ity raharaha mafana mahavoarohirohy Ben’ny tanàna arahin’ny mpanara-baovao maro akaiky ity, dia  nanao fanambarana niraisana sy naneho hevitra omaly ireo Ben’ny tanàna rehetra any amin’ny Distrika Nosy-Varika : “ Ny mahagaga anay dia nisy zandary roa lahy avy ao amin’ny borigady Ampasinambo no niara-niatrika ny famonoana ny jiolahy iray, ny 31 Janoary io, ka nahoana ny Maire izay voafidy sy mamim-bahoaka ihany, satria efa 23 taona naha Ben’ny tanàna azy, no notazomina sy atao famotorana ary nampidirina “violon”, hoy ny Filohan’ny Fikambanan’ny Ben’ny tanàna sady Ben’ny tanànan’ny Kaominina ambanivohitra Fiadanana.

Eric Manitrisa

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