L’atelier interactif des partis politiques organisé conjointement par le ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation et le PNUD a pris fin hier. Ils étaient plus d’une soixantaine de partis politiques, ayant ou non des élus parlementaires, et de différentes obédiences à participer activement à cet atelier, émettant leurs autocritiques et leurs propositions pour améliorer le leadership politique et éclaircir les rôle et place des partis politiques dans la consolidation de la démocratie. Les qualités et caractéristiques d’un leadership politique éclairé, inclusif, visionnaire et consensuel, la place et le rôle des partis politiques dans la promotion de l’Etat de Droit. Le bilan du paysage politique traitant les cas de transhumance, de coalition idéologique et de militantisme, les mécanismes de coopération entre partis politiques, ainsi que la pratique d’inclusion et de cohésion sociale ont été spécifiquement débattus avec la facilitation des personnes ressources du PNUD, de la CENI et du ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation.
Expériences. Pour chaque thème, les partis politiques présents à l’atelier ont revu les expériences positives de Madagascar, les défis et points à améliorer et les recommandations à émettre par acteur. A l’issue des discussions, les partis politiques ont établi une liste de recommandations s’adressant aux partis politiques eux-mêmes, à la communauté internationale, au gouvernement et à la commission électorale nationale indépendante. « Le changement vient de l’intérieur et dépend de l’appropriation des acteurs de la mise en œuvre et du suivi de chaque recommandation » a soutenu Violet Kakyomya, la Représentante résidente du PNUD à Madagascar en participant aux deux jours d’atelier avec les partis politiques. Rappelons que cet atelier interactif des partis politiques est le deuxième du genre avec l’appui du PNUD après celui du mois d’août 2016.
La marine malgache vient d’être dotée d’un nouveau bateau dénommé «Ankio». La cérémonie a eu lieu, hier, à Nosy-Be, en présence de l’ambassadeur américain Robert Yamate et du Président Hery Rajaonarimampianina. Le don de ce nouveau bateau est une réponse à la demande faite par le gouvernement en 2014. Le ministre de la Défense Nationale, le général Béni-Xavier Rasolofonirina, le chef de l’Etat-major général de l’armée malgache, le général Lantoarinjaka Razafindrakoto et le commandant de marine malgache, le Contre-Amiral Louis Antoine de Padoue Ranaivoseheno étaient également présents à cette cérémonie.
Outil. Lors de son allocution, l’ambassadeur américain a déclaré « comme Madagascar souhaite aller au-delà des côtes pour protéger ses eaux territoriales, un bateau comme celui-ci aidera à rendre ces eaux plus sûres et sécurisées ». Et d’ajouter que « c’est un outil polyvalent pour faire face à la pêche illicite, pour arrêter le trafic de bois de rose et d’autres ressources précieuses et pour augmenter la capacité de recherche et de sauvetage». Ce bateau, de type Metal Shark, mesure 12m de long et 3,5m de large. Propulsé par deux moteurs diesel, le bateau a une vitesse moyenne de 60km/h. Son autonomie est de 480 km. Par ailleurs, le navire a un système de communication moderne. Cette donation d’une valeur de 823 000 dollars, comprend la fourniture de pièces détachées et la réparation du navire sur une année ainsi que la formation de l’équipage malgache.
Sécurité maritime. En outre, le diplomate n’a pas manqué de faire remarquer que « la sécurité maritime est un domaine dans lequel la coopération americano-malgache est très forte », tout en soulignant au passage qu’à part ce nouveau bateau pour la marine malgache, l’effort conjoint des deux pays pour moderniser le centre des opérations maritimes à Antsiranana et le centre de fusion de l’information maritime de l’Océan Indien qui est implanté à Madagascar contribuera à l’amélioration de la sécurité maritime régionale.
Le syndicat des artistes lors de la conférence de presse hier au Kianjan’ny Kanto à Mahamasina.
Le syndicat des artistes a réuni la presse hier au Kianjan’ny Kanto pour annoncer officiellement qu’il retire sa plainte contre l’artiste Hiary Rapanoelina.
Une semaine après la conférence de presse tenue par la famille de Hiary Rapanoelina, l’artiste continue de croupir en prison, et sa femme est en liberté provisoire. Mais certains facteurs ont changé. Le syndicat des artistes, visiblement touché par cet aveu de la part du concerné et de sa famille, a décidé de retirer sa plainte. Comme on dit, péché avoué à moitié pardonné, ces artistes veulent montrer leur bonne foi, tout en soulignant qu’il ne s’agit pas de classer l’affaire pour le rendre sans suite, mais de ne pas alourdir la peine. Hiary Rapanoelina a certainement compris la leçon, place maintenant au verdict. Hier, lors d’une conférence de presse que le syndicat a tenu au Kianjan’ny Kanto à Mahamasina, un comité des sages a été mis en place pour éduquer les internautes sur l’usage des réseaux sociaux et d’internet.
Identité virtuelle. Aujourd’hui, avec la vulgarisation d’internet et surtout de Facebook, qui est accessible à un prix très compétitif et pratiquement sur tous les téléphones, tout le monde, jeunes et moins jeunes étalent leurs vies sur les réseaux sociaux. Ces exhibitionnistes et voyeurs qui s’amusent à commenter, en bien comme en mal, la vie des autres, veulent prôner la liberté d’expression en oubliant que la liberté de chacun s’arrête là où commence celle des autres. Il y a ceux qui créent une existence virtuelle, à des fins pas toujours très honnêtes, puisque ces identités virtuelles leurs permettent d’entrer en contact avec des mineurs et cela pourrait facilement dégénérer.
Il est temps de sensibiliser les internautes, et la population en général, sur l’usage de ces réseaux sociaux et d’internet. Le film Selfie#Sale Fille, sorti en 2015, rapporte bien les conséquences que peuvent entraîner l’utilisation à mauvais escient des réseaux sociaux.
Un partenariat au service des abonnés, pour Airtel et Allianz.
Etre client d’Airtel, avoir un certain niveau de consommation. Et c’est tout pour bénéficier de Antoka, l’assurance pour tous mis en place depuis novembre 2014, grâce à un partenariat entre Airtel et Allianz.
Le partenariat a été relancé hier entre les deux parties, lors d’une cérémonie de signature par Maixent Bekangba D.G d’Airtel et Philippe Lebreton D.G d’Allianz Madagascar.
Pas chère. Destinée aux abonnés prépayés Airtel, Antoka garantit des indemnités forfaitaires contre le décès, invalidité absolue et définitive et les frais médicaux liés aux activités de la vie quotidienne. Les aléas domestiques, agressions et attentats, catastrophes naturelles font donc partie de l’éventail des faits générateurs considérés comme « les accidents de la vie » pris en charge par Allianz Madagascar. Une assurance pas chère mais qui peut rapporter gros puisque le seuil minimum de consommation mensuelle, permettant la souscription est de 3 500 ariary. L’atteinte d’objectif de consommation mensuelle par l’abonné Airtel lui garantit automatiquement une couverture d’assurance forfaitaire en cas d’accident le mois suivant. Les avantages liés à cette assurance varient selon la consommation téléphonique mensuelle du client. Les frais médicaux peuvent aller jusqu’à 35 000 Ar, la couverture pour l’Invalidité Absolue et Définitive jusqu’à 500 000Ar, les indemnités en cas de décès jusqu’à 1 000 000 Ar, des indemnisations payées via Airtel Money. La souscription est gratuite via le *233# et il suffit pour le client de se rendre dans un shop Airtel et remplir une fiche d’adhésion.
Bonne option. Les garanties s’appliquent pour tout événement accidentel dont le fait générateur est intervenu pendant le mois d’assurance concerné. En tout cas, l’assurance Antoka est une très bonne option, ne serait-ce qu’en raison du fait qu’elle est initiée par deux partenaires qui sont leaders dans leur secteur. « Antoka est un moyen d’accès à l’assurance pour le plus grand nombre » a déclaré Philippe Lebreton, Directeur Général d’Allianz Madagascar. « Des services et des offres taillés sur mesure comme Antoka sont le reflet de l’importance que le 3e opérateur mobile mondial accorde à la santé de la population à Madagascar. L’objectif étant d’alléger, autant que possible, les charges financières qui pèsent sur leurs épaules et de leur offrir davantage confort et sécurité. » a ajouté Maixent Bekangba, Directeur Général d’Airtel Madagascar.
La société de l’ancien président est toujours disposée à coopérer avec la CUA si cette dernière le veut.
Cinq jours après le verdict du tribunal administratif sur le terrain d’Andohatapenaka suite à la requête de la conseillère municipale Lalatiana Ravololomanana, le PDG de Tiko, Marc Ravalomanana, a rencontré hier à l’hôtel de Ville d’Analakely des responsables de la commune urbaine d’Antananarivo. A l’issue de la rencontre, l’ancien président a déclaré qu’il est toujours prêt à mettre le terrain de Tiko Agri à Andohatepanaka à la disposition de la CUA pour servir de fourrière. « Disposer de ses biens, c’est le droit le plus absolu de Tiko. Tiko est en possession des cinq titres en bonne et due forme justifiant que le terrain sis à Andohatapenaka lui appartient. S’il y a des gens qui disent le contraire, qu’ils retirent ces titres fonciers ! En tout cas, c’est à la commune de décider si elle veut encore utiliser le terrain en question. », a affirmé le PDG de Tiko. On a appris hier que le Conseil municipal d’Antananrivo va très bientôt se réunir en session extraordinaire pour délibérer sur plusieurs sujets dont la convention entre Tiko et la CUA sur l’utilisation du terrain d’Andohatapenaka.
Manque de subvention. A rappeler que le tribunal administratif d’Anosy a annulé la délibération du conseil municipal au motif que, selon Lalatiana Ravololomanana, l’adoption de celle-ci n’a pas été initialement inscrite à l’ordre du jour. La prochaine session extraordinaire du conseil municipal permettrait donc de régulariser ce « vice de forme ». En tant que conseiller spécial du maire, Marc Ravalomanana a été interrogé hier par les journalistes sur la dégradation de l’état de certaines infrastructures dans la Capitale. En effet, sur l’état de certaines routes de la ville, il a expliqué que la réhabilitation ne peut se faire en période de pluies et qu’il faut attendre la saison sèche pour pouvoir mener les travaux de réhabilitation. « Je tiens à affirmer que les moyens financiers de la commune sont limités faute de subvention de la part de l’Etat. Quoi qu’il en soit, la commune peut effectuer des petits travaux. C’est le cas à Tsimbazaza pour protéger le domicile du président de la République du déversement des eaux usées », a souligné Marc Ravalomanana.
Candidature. En tant que président national du TIM, l’ancien président a été hier bombardé de questions sur une manœuvre politique visant à l’exclure de la course à la magistrature suprême. Il a réitéré que toute exclusion sera source de troubles pré-électorales et post-électorales. « Je serai candidat. Laissez le peuple choisir qui il veut pour diriger le pays », a-t-il martelé. Avant de continuer : « Je tiens à rappeler que j’ai été condamné par défaut par une justice incompétente. Et s’il y a des gens qui disent que les putschistes ne seront pas autorisés à se présenter en application de l’Accord de Cotonou, qui oserait dire que ces dirigeants ne sont pas aussi des putschistes ? A ma connaissance, ils étaient dans le gouvernement des putschistes après le changement anticonstitutionnel de 2009. » D’après Marc Ravalomanana, il est actuellement en contact avec la communauté internationale dans l’objectif d’organiser une élection inclusive à Madagascar en 2018.
Lonilony sa fialonana ? Vehivavy iray, mpampianatra ao amin’ny sekoly fanabeazana fototra ao Ambato, any amin’iny distrika Ambohidratrimo iny no hita faty tanaty lakandrano ny herinandro lasa teo. Mpiara-miasa aminy akaiky ihany no voalaza fa tao ambadik’izany ary efa nosamborina, araka ny angom-baovao azo. Novonoina tamin’ny fomba feno habibiana tanteraka ity vehivavy 26 taona ity, raha ny tatitry ny zandary. Satria araka ny filazan’ny mpitsabo nijery ny razana teny an-toerana dia niharan’ny herisetra ara-nofo izy, ary notamperina ny ainy nony avy eo. Nalentik’ilay nahavanon-doza tao anaty tatatra ny lohany mba ho sempotry ny rano. Fa ny tena nampivarahontsana ny rehetra dia fantatra fa mitondra vohoka telo volana ilay mpampianatra. Raha ny fanazavàna azo dia efa roa andro talohan’io nahitàna ny vatana mangatsiakany io ity vehivavy ity no tsy tonga tany an-tranony tany Anjanadoria, izay somary lavidavitra ny toeram-piasàny. “Ny zoma 10 febroary lasa teo, rehefa avy nampianatra tao amin’ny EPP Ambato, ka handeha hody any Anjanadoria dia tsy tody tany an-tranony” hoy ny vaovao. Nanomboka teo ny ahiahin’ireo fianakaviana izay efa nitady azy hatraiza hatraiza. Tany amin’ny toeram-piasàny sy tany amin’izay mety ho toerana nalehany. Efa nampandrenesina ihany koa ireo tomponandraikitry ny filaminana tany an-toerana. Nanjavona anefa. Roa andro, taorian’ny nikarohana azy, no nisy nahita, saingy efa vatana mangatsiaka nihohoka tanaty lakandrano. Nisokatra avy hatrany ny fikarohana izay mety ho tsy valahara nahavita ity heloka bevava ity, nataon’ireo mpitandro filaminana. Ary dia izao nitohy tamin’ny fisamborana ny mpiara-miasa aminy akaiky izao, ny voalohandohan’ny herinandro teo, izay voatondro hatreto ho tompon’antoka tamin’ilay famonoana. Niasa irery sa nisy namana, ary inona no mety ho antony, mbola mitohy hatreto ny fanadihadiana.
En enregistrant sa deuxième victoire à Morondava aux éliminatoires de la Coupe du président de basket-ball pour la zone ouest, l’équipe de l’ASB d’Itasy se rapproche des demi-finales. Après sa large victoire par 102 à 68 face au BCM de Morondava, les gars d’Itasy ont disposé de la formation du BCM de Belo sur le score de 73 à 59. Une victoire qui place toujours en tête l’équipe de l’ASB après trois victoires sur autant de sorties. De son côté, MFB Morondava, après avoir essuyé deux défaites d’affilé, a pris le dessus sur l’ASJBM de Mahabo par 60 à 30. La quatrième journée éliminatoire se disputera ce jour et dont le verdict s’annonce déjà décisif pour la suite de l’aventure.
Le bâtonnier de l’ordre des avocats en s’exprimant sur le manque de confiance de la population en la justice malgache lors de l’inauguration de la maison des avocats à Anosy, a dit tout haut ce que la majorité des gens pense tout bas. Elle explique cette banalisation de la vindicte populaire qui fait presque quotidiennement des victimes. Cette défiance envers la justice et les forces de l’ordre rejaillit sur l’Etat qui a ainsi perdu tout son crédit.
Vindicte populaire : La perte de crédit de l’Etat
La grande ile est pointée du doigt par les médias internationaux pour cette recrudescence des lynchages de personnes soupçonnées de vols, de meurtres ou de viols. Madagascar, pays renommé pour la bienveillance de ses habitants et pour leur sens de l’hospitalité, a maintenant une réputation peu enviable après les mises à mort d’hommes ou de femmes livrées à la colère d’une populace déchaînée. Dans le contexte actuel, le manque de réaction des pouvoirs publics encourage ces actes de barbarie qui se produisent un peu partout dans la grande île. Jusqu’à présent, les condamnations des autorités, même si elles ont été fermes, n’ont été que verbale et aucune action significative n’a été entreprise. La corruption et le laissez aller à tous les échelons de l’administration ont empêché les justiciables de faire confiance à ces autorités qu’ils accusent de laxisme. L’habitude de la vindicte populaire s’est très vite répandue. Cette pratique qui a eu tendance à se banaliser a donné lieu à des dérives qui ne peuvent pas se justifier. Le cycle de la vengeance irraisonnée n’est pas tolérable. Les membres du SMM ont appelé à une sanction exemplaire à l’encontre des auteurs de ces actes. Les responsables des forces de l’ordre ont été tout aussi sévères. L’actualité qui regorge de ce genre de faits divers sanglants montre qu’il faut tout faire pour rétablir l’ordre. Aujourd’hui, les autorités au plus haut niveau sont conscients de la gravité de la situation. Le président de la république affirme que ce n’e président de la république affirme que ce n’est plus tolérable. On attend donc de voir la portée des mesures qui vont être prises.
Rideau sur le sommet national de natation. Tout comme rideau sur la remise de médailles de mérite sportif aux sportifs choisis entre mille autres. Et si on se posait les bonnes questions maintenant ? Pour commencer ce sera dans le monde de la natation que nous allons faire une incursion.
Entre cotation et fierté nationale !
Le lendemain du sommet national de natation qui s’est tenu dans la piscine de CNaPS Sport à Vontovorona, la liste des partants pour les championnats du monde est de suite sortie. On se retrouve avec trois dossistes et une nageuse toute option. Soit quatre nageurs dont deux filles et deux garçons en la personne de Estellah Rabetsara, Elodie Razafy, Nomena Anthony et Michael Rasolonjatovo. Ils vont se présenter à quelles épreuves ? Leurs spécialités ou leurs points aux cotations. A la direction technique nationale de décider.
Mais là où le bât blesse, mais ce n’est pas seulement en natation, c’est que le prestige d’être champion de Madagascar est souvent caché par ces compétitions internationales. Ce ne sera pas pour demain que nous allons être champion du monde ou champion olympique de natation ni aux prochains jeux olympiques. Alors pourquoi ne pas donner plus de poids aux titres nationaux ? Les tables de cotation cachent totalement les performances des champions de Madagascar. Ranto Ratsimisata par exemple est un très très bon nageur, mais il est caché dans la masse car sa spécialité n’aligne pas d’énormes points en table de cotation. Pire, des jeunes changent de styles de nage après des années pour se mettre au niveau de cette fameuse table de cotation.
Championnat du monde 2017 de Budapest, Hongrie
Du 12 au 28 juillet 2017
Si le sommet a donné son verdict, aurons-nous les finances pour quatre têtes pour Hongrie ? Le Ministère aura-t-il les sous ? On en rêve oui. On n’aura pas nos chances non plus, car les chronos ne mentent pas. Les techniciens de la natation avaient utilisé les tables de cotation de la France auparavant. Mais dernièrement, on les a changés pour les aligner avec les Jeux des Iles. Des performances que l’on pense à notre portée et pourtant, auxquelles on ne donne pas toute sa valeur avec ces classements et ces compétitions internationales. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais tout juste faire preuve de bon sens ! Rien que cela. D’autres vont penser après « Pourquoi se base-t-on sur des points de classement en Jeux des Iles alors qu’on va participer aux championnats du monde ? » L’illogisme parfait.
Le pays des dossistes ?
Les détenteurs des records nationaux partiront rarement ! Ce sont les détenteurs de meilleurs points en dos qui ont plus de chances. Et l’on rêve d’une transparence totale dans la gestion technique de la fédération ainsi que d’une table ronde des techniciens pour tout mettre à plat. Où est la cohérence dans les objectifs ? Il y a évidemment des façons de jouer, de gagner et surtout de battre ses adversaires à la régulière. Si on les appliquait ? Car personne ne détient la vérité. Sauf peut-être si l’on est « tompom-baolina » !
Education par le sport
La natation est un très bon tremplin
Les férus de sport savent qu’ils gagnent en éducation en pratiquant du sport. Pas seulement en muscles ni en médailles, mais dans un certain caractère de battant. Le sport est une éducation à part entière. On peut penser éducation avant la performance. Des piscines gardent leurs statuts de piscines et non de clubs afin de garder cet état d’esprit. « Ny Lomano Center » par exemple, il s’agit d’un centre sportif à la base destinée à l’éducation. Les performances peuvent attendre. C’est une éducation dans la tête avant tout, éducation sportive liée à la vie et non seulement sur ce que l’on donne et reçoit sur les bancs de l’école seulement. En natation, tout comme dans le monde sportif, il existe des règles à suivre obligatoirement. Le sens éducatif emmène petit à petit le jeune vers la performance. L’éducation sportive est un combat permanent, une résistance en permanence. L’image de l’éducation par le sport, vous l’avez ici, sur place à Madagascar, avec les Malgaches et mieux, cela se vit en famille.
Passion, rigueur et entraide. Et à nous de les mettre en exergue. La natation est un bon tremplin pour cela.
Vers un engouement national
Adulons nos champions !
Etant donné que nous ne sommes pas des champions du monde, les performances à atteindre sont les meilleurs résultats possibles par rapport à la personne pour mieux exploiter notre potentialité jusqu’au bout. Le frein, c’est l’âge et la volonté. Tout ce qu’on demande, c’est que les Malgaches aient confiance en eux, qu’il y ait un engouement national pour le Malgache. Ce sont nos champions, ce sont nos références.
Vokatry ny fisafoana (inspection) nataon’ny BOA foibe avy any Antananarivo, andro vitsy lasa teo, dia tsikaritra fa nisy ny fanodinkodinam-bola mitentina 200 tapitrisa ariary, tao amin’ny masoivohon’ny BOA Ambositra. Fantatra ihany koa, fa efa eo am-pelatanan’ny polisy eto Ambositra ny raharaha, ka voarohirohy amin’izany, ny « directrice d’agence » izy tomponandraikitra voalohany, ka notazonina vonjimaika alohan’ny handefasana ny raharaha eo anivon’ny fitsarana. Andrasana arak’izany ny ho tohin’ny raharaha.
Daniel Schaffer, président directeur général de la Fondation pour l’éducation environnementale était en visite officielle à Madagascar pour prendre la mesure de la mise en œuvre du programme Eco-schools dans le pays.
Madagascar compte actuellement quatre écoles pilotes dans le cadre de la mise en œuvre du programme Eco-schools (Eco-écoles), mais on assiste à un intérêt grandissant des établissements scolaires pour ce programme. Eco-schools est un programme de développement durable introduit par le projet ISLAND de la Commission de l’Océan Indien (COI) et incite les écoles à agir en faveur de l’environnement et les aide à prendre des mesures en faveur du développement durable. Il s’agit ainsi d’un programme volontaire ouvert à toutes les écoles des pays participants de la région Océan Indien. Dans le monde, le programme Eco-Schools existe dans une soixantaine de pays et plus de 49 000 écoles mettent en œuvre le programme.
De Tsilazaina à Sabotsy Namehana. Lancé dans l’Océan Indien en 2015, le programme Eco-Schools Océan Indien est reconnu par les Nations unies comme l’un des projets de durabilité les plus efficaces au cours des dix dernières années et rassemble aujourd’hui plus d’une centaine d’écoles de la région et plus de 25 000 élèves. C’est justement afin de prendre la mesure de la mise en œuvre du programme Eco-schools que le président directeur général de la Fondation pour l’éducation environnementale, Daniel Schaffer, était en visite officielle à Madagascar, cette semaine, après être passé par Maurice et avant de rejoindre Zanzibar en Tanzanie. Il a visité deux écoles pilotes à Antananarivo, à savoir, l’EPP Tsilazaina Alasora et le lycée Andrianampoinimerina à Sabotsy Namehana. « La mise en œuvre de ce programme est certes naissante à Madagascar, avec quatre écoles pilotes, mais il suscite déjà l’intérêt de beaucoup d’écoles. Les changements constatés au niveau des écoles pilotes attirent beaucoup l’attention d’un certain nombre de partenaires », a souligné Fenohery Randrianantenaina, point focal du projet COI-ISLANDS à Madagascar.
MNP. Le programme Eco-Schools fournit un cadre et des normes pour aider les éducateurs à intégrer les principes de développement durable dans leur système éducatif. Les établissements scolaires sont ainsi appelés à s’engager vers un fonctionnement écoresponsable et à intégrer l’éducation au développement durable dans leurs enseignements. « La plus-value de ce programme tient aussi au fait qu’il implique directement la direction des écoles, les autorités locales, le corps enseignant, les élèves, mais aussi les familles », a-t-il été souligné du côté de la COI.
Après Madagascar, Daniel Schaffer a mis le cap, hier, pour la dernière étape de sa visite dans l’Océan Indien, sur Zanzibar où une trentaine d’écoles ont adhéré au programme Eco-schools.
Rappelons qu’au niveau de chaque pays, le programme est piloté par un comité national et mis en œuvre par des organisations non gouvernementales. Pour Madagascar, il s’agit de Madagascar National Parks.
Le Premier ministre Olivier Mahafaly Solonandrasana a quitté la Grande Ile tôt ce matin, à destination de Paris où il assistera à la cérémonie de remise des Prix Mandela 2016. En effet, ce déplacement fait suite à une invitation officielle du Docteur Paul Kananura, président de l’Institut Mandela. Faut-il rappeler que le Chef du gouvernement malgache figure parmi les 15 personnalités récompensées au titre de l’année 2016. Dans le cadre de cette visite dans la capitale française, il va recevoir le Prix Mandela du courage. Selon le communiqué de l’Institut Mandela, ce prix sera décerné au Premier ministre Olivier Mahafaly Solonandrasana « pour sa vision du développement de Madagascar et de l’Afrique ». Chaque année, l’Institut Mandela décerne des prix à des personnalités ou Institutions pour récompenser des actions louables en faveur de l’Afrique et de la Paix dans l’esprit de Nelson Mandela. Pour ce qui est de l’édition 2016, 3623 candidatures, dont 3191 candidatures populaires, 25 candidatures individuelles, 388 candidatures diplomatiques et 19 candidatures officielles ont été reçues.
Société de Justice et de Paix. Il convient de noter que le Prix Mandela de la Paix a été décerné au Roi du Maroc Mohammed VI pour sa contribution à l’édification d’une Société de Justice et de Paix entre les hommes et les nations, ainsi que ses actions très louables en faveur de la promotion du développement en Afrique à travers sa diplomatie économique, sécuritaire, humanitaire, culturelle et spirituelle. Parmi les lauréats figurent également quatre présidents de la République. Il s’agit du président du Mali Ibrahim Boubacar Keita qui a reçu le prix Mandela de la Démocratie, du président du Niger Isoufou Mahamadou (Prix Mandela de la Sécurité), du président du Sénégal Macky Sall (Prix Mandela de l’Emergence) et du président du Bénin Patrice Talon (Prix Mandela de la Gouvernance). Pour sa part, le Secrétaire général de la Francophonie Mme Michaëlle Jean va recevoir à Paris le Prix Mandela Ubuntu.
Anandra Norbert dément certains rapports des faits.
Le ministre de la Police nie l’existence d’une expédition punitive menée par ses hommes. Les responsables des crimes sont déjà entre les mains des enquêteurs, a-t-il annoncé.
« Partout, on parle de vindicte populaire, mais nous (la grande famille de la police) nous voyons les choses autrement : un double assassinat dont les deux victimes sont des nôtres » a expliqué le ministre de la Sécurité publique hier durant sa rencontre avec la presse. Une manière pour lui d’annoncer que les responsables de ces actes seront traduits devant la justice. Sur cette affaire d’ailleurs, des arrestations en série ont eu lieu à Ambalamanga. Le patron de la police avance que ses éléments sur place ont mis la main sur quarante individus. Ces derniers ont, tout de suite, été acheminés à Antsohihy, là où ils seront auditionnés par la brigade criminelle. Le contrôleur général de police Anandra Norbert, lui-même ministre de la Sécurité publique, a nié certaines versions rapportées sur l’affaire Befandriana-Nord. « Non, il n’y avait aucune forme d’expédition punitive de la part de nos hommes. Non, nos hommes n’ont pas tué les villageois et d’ailleurs il n’y avait aucune mort d’homme durant leurs interventions. Non, les éléments de la police en service commandé n’ont pas incendié des villages », a-t-il souligné. Un triple Non qui en dit long : le ministre dément toutes les versions rapportées sur l’intervention policière à Ambalamanga, cette localité située à 15 km de Befandriana-Nord. « Comme il s’agit d’assassinats, nous avons le devoir d’arrêter les criminels et nous l’avons fait. Les meneurs du groupe que nous qualifions pour l’instant d’être les cerveaux de l’acte sont parmi les quarante personnes entre nos mains » dixit le même ministre qui, dans la foulée, a mis en garde contre la diffusion de fausses nouvelles, puisque « la diffamation/ l’outrage envers l’Etat est punissable ». Il défend la thèse selon laquelle les deux policiers victimes de « vindicte populaire », un terme qu’il évite, sont bien des éléments en service commandé. Ils avaient pour mission d’exécuter une décision judiciaire, un ordre en bonne et due forme et avalisé par le chef district de la localité. Ces victimes seront prochainement décorées à titre posthume chevalier de l’ordre national. Les vindictes populaires devenues alors phénomène de l’année continuent d’alimenter les polémiques et le silence des voix autorisées favorisent parfois ces dérives. A vrai dire, le ministre de la Police a été le premier à briser le silence pour partager son avis sur le sujet. Deux semaines auparavant, il a rappelé à l’ordre ses hommes afin d’avoir un bon comportement face aux citoyens. Ironie du sort, deux de ses éléments ont été victimes de cette pratique médiévale. Actuellement, toutes les réflexions mènent à chercher des solutions pour en finir avec ce phénomène. A Antananarivo, une Commission de Réforme pour l’Intégrité Judiciaire (CRIJ) vient d’être créée et s’est saisie de la question sur la prolifération inquiétante du phénomène de justice de foules violentes dit « vindicte populaire ». Voici un extrait de sa proposition de résolution : « …Exhorte les institutions, parties prenantes du secteur Justice et notamment celles du système judiciaire répressif, de la constatation des infractions jusqu’à l’exécution des décisions de justice, à effectuer un examen introspectif de leurs propres responsabilités sur la prévalence du phénomène et à expliquer et exposer publiquement les défaillances qui méritent d’être traitées (…) Appelle les autorités étatiques et morales à tous niveaux de gouvernance à condamner fermement tout acte tendant à l’apologie, à l’incitation active ou passive et à l’exécution des vindictes populaires (…) Appelle les médias à ne pas verser dans l’exhibitionnisme et le sensationnalisme sur le phénomène et rappelle le respect de la dignité humaine…».
Na efa mifonja vonjimaika tao Tsiafahy ilay tompon’ny orinasa « Tsaralaza », sy ao Antanimora ny vadin’ny mpikarakara ny sambo « Lumina » nahatrarana ireo andramena am-bodiomby tao « Cap Masoala » ; dia navoaka ny fonja izy ireo mba nahafahan’ny mpitandro ny filaminana misahana ny fanadihadiana notarihan’ny kaomandin’ny zandarimariam-pirenena nasionaly avy eto Antananarivo, nanao ny fanadihadiana ifotony teto Toamasina, omaly tontolo mikasika ny vontoatin’ny raharaha. Omaly alakamisy nanomboka tamin’ny 11ora ary tsy nifarana raha tsy tamin’ny 5ora sy sasany, ny fisavana nataon’ireo andiana zandary sy polisy avy ao Antananarivo, ny tranon’izy mivady tao Valpinson Toamasina. Tsy nisy fanazavana azo mikasika ny zava-nisy nandritra ny fisavana rehetra, fa ny fidirana sy fivoahan’ireo mpitandro ny filaminana no hitan’ny be sy ny maro liana tamin’ity raharaha andramena tratra ity. Nisy fotoana aza nentin’ireo mpitandro filaminana niala ilay trano misy azy mivady tao Valpinson ilay ramatoa tokonyho tamin’ny 2ora sy sasany teo, izay tsy fantatra marina ny nitondran’izy ireo azy, ary tsy niverina tao Valpinson raha tsy tamin’ny 5ora hariva. Taorian’ny fisavana ny trano tao Valpinson, adiny enina, dia : baoritra, harona, fitaovana fanisana vola, kitapo mainty, ary valizy kely (mallette) mainty, no navoakan’ireto mpitandro ny filaminana avy tao amin’ity trano nosavaina. Ireo entana efatra voalohany dia nampidirina tao anatin’ilay fiara tsy mataho-dalana nitondra ilay zandary nitarika ny fisavana, ilay valizy kely kosa nampidirina fiara tsy mataho-dalana hafa indray. Ireto mpivady kosa naiditra fiara Sprinter taxi-brousse niaraka tamin’ireo andiana zandary sy polisy, ka nisy ny fanokafan-dàlana tamin’ny alàlan’ny kiririoka natao tamin’ny fitondrana azy mivady. Nandritra ny fisavana ny trano aloha, dia tsy nisy na tamingana andramena iray navoaka avy tao amin’ny tranon’izy mivady ity ; ireo mpitandro ny filaminana na nampiandry ny mpanao gazety nandritra ny adiny enina aza tsy nisy na iray aza nanome fanazavana ny fizotry ny raharaha. Raha tsiahivina anefa dia andramena 341 tratra am-bodiomby tao anaty sambo « Lumina » anefa no hanenjehana azy ireo…
Le Chef Rahajarizafy, Benja Gasy et toute l’équipe du Palais du Méchoui.
Duo, c’est le concept du Chef Rahajarizafy et de Benja Gasy, qui allient musique et gastronomie. Premier rendez-vous au Palais du Méchoui à Ankadivato le jeudi 2 mars à 18h30.
Pour le Chef Rahajarizafy et Benja Gasy, c’est une histoire de passion et d’amitié qui a commencé en 1987, et qui est restée intacte jusqu’à aujourd’hui. Car lorsque la gastronomie rencontre la musique entre passionnés, le temps semble éternel. Tout commence en 1987 à Zurich, et continue à Paris en 1988. Dix ans après, les années passent, mais l’amitié reste, ils se retrouvent à Nairobi. Cela ne ferait aucun sens s’ils ne partagent pas cette prestation avec les Malgaches. Ainsi, désormais, ils referont le concept à Madagascar, au Palais du Méchoui à Antsakaviro. Et pour commencer, ils donnent rendez-vous le jeudi 2 mars prochain pour un grand buffet malgache à gogo, avec une animation musicale purement malgache. Associer les saveurs du palais à la musique traditionnelle, parce que Benja Gasy s’est toujours illustré, à travers sa carrière qui a largement dépassé les frontières malgaches, grâce à ses racines malgaches.
Produit frais. Pour ces « jeudis » en musique, le duo sera surprenant. D’un côté, les bons petits plats du Chef Rahajarizafy, qui veut valoriser les produits frais malgaches. Une aubaine pour ce Chef qui aime travailler les matières et les produits, et qui affectionne la gastronomie malgache. Comme ce sera un rendez-vous hebdomadaire, il cuisinera de tout. « Les jeudis, ce sera un buffet spécial « malagasy », puisque tous les autres jours de la semaine, il y a déjà le méchoui et les autres grillades » explique le Chef Rahajarizafy. En tout cas, pour du bon « sakafo malagasy », rendez-vous ce 2 mars.
Un certificat de mérite a été remis, avant-hier, par le ministre de l’Education nationale à DHL et SOS Villages d’Enfants Madagascar pour le projet GO TEACH. Ce projet né d’une initiative de DHL Madagascar il y a huit ans, qui consistait alors à appuyer des jeunes de SOS Villages d’Enfants dans leur insertion professionnelle en leur offrant des stages professionnels, a évolué vers l’intégration de l’initiative dans le projet de Deutsche Post DHL baptisé « Go Teach ». Ce, en prenant comme modèle le partenariat de DHL et SOS Villages d’Enfants Madagascar, lorsque Deutsche Post DHL et SOS Villages d’Enfants international ont cherché une formule pour un partenariat. Des représentants des deux entités étaient alors venus à Madagascar en 2011 pour implanter d’une manière officielle le partenariat et connaître un peu plus le fonctionnement du projet à Madagascar qui est le pays pionnier de GO TEACH. DHL International Madagascar et SOS Villages d’Enfants Madagascar travaillent ensemble depuis huit ans pour l’insertion professionnelle des jeunes. Actuellement le projet GO TEACH est appliqué dans 26 pays dans le monde.
Ce sera dans un Palais des Sports plein que le groupe Ambondrona se produira demain, lors du concert de clôture de son 15e anniversaire, au Palais des Sports. Un concert en terre conquise donc pour célébrer ensemble quinze ans de succès. L’occasion de sortir l’album DVD live du coliséum, qui leur a d’ailleurs rapporté le trophée du spectacle de l’année par une station radio. Pour les fans, qui ont acheté les billets depuis plus d’une semaine maintenant, c’est presque une communion avec leurs idoles. Pour les artistes, c’est un moment de partage qu’ils voudront savourer avec délectation. En tout cas, le spectacle s’annonce grandiose !
Un appui conséquent de 20 millions d’Ariary a été reçu par l’association « Terre en mêlées » pour la réalisation de ses activités.
Un nouveau palier franchi. Dans le cadre de ses actions de promotion de l’éducation des jeunes et le maintien de la solidarité des communautés à travers le rugby, l’association « Terres en Mêlées » poursuit sa mission. En effet, l’association vient de bénéficier du soutien du Groupe Star avec la dotation d’une chèque de 20 millions d’Ariary dont la signature de l’accord de partenariat s’est tenue hier entre le président fondateur de l’association, Pierre Gony et le représentant du Groupe STAR en la personne de son Secrétaire Général, Anna Rabary. Une somme qui servira notamment à la réalisation des activités de l’association pour cette année 2017 en faveur des enfants malgaches en particulier les jeunes filles.
35 124 collégiens. Cela fait seize ans que l’association internationale « Terres en Mêlées » a existé et c’était depuis 2014 qu’elle a œuvré à Madagascar à travers deux projets Enfant et développement et le Championnat national de rugby scolaire. Depuis son lancement en 2014, plus de 35 124 jeunes collégiens et professeurs d’Education Physique et Sportive (EPS) ont été touchés par le projet en provenance de 22 régions. Ils étaient 10 000 collégiens, dont 5 700 filles qui ont pris part à la compétition durant l’année scolaire 2014-2015 et 25 124 dont 19 305 filles pour 2015-2016. Pour cette année, le premier tournoi de rugby scolaire se déroulera à Antananarivo ce jour. Au programme, un tournoi de Rugby Fédéral auquel 2 000 jeunes garçons et filles participeront au stade Malacam. Ces matchs seront suivis par la remise officielle des diplômes World Rugby et des matériels destinés aux 60 professeurs d’EPS de 120 collèges et lycées engagés dans le projet. La finale se tiendra le 25 juin à Antananarivo en présence de l’équipe nationale de rugby et d’une équipe française de Rugby à VII féminine et masculine. Cette année, 8 000 jeunes dont 4 000 filles bénéficieront du projet.
C’est la dernière ligne droite du tournoi éliminatoire de la zone ouest pour la Coupe du président de basket-ball à Morondava ce week-end. Les deux représentants de la zone ouest pour le play-off à Fianarantsoa seront connus ce soir à l’issue des demi-finales. GNBBM Morondava sera opposé à l’ASJSM de Mahabo. L’ASB d’Itasy se mesurera au BCM de Belo. Partenaire numéro Un du basket-ball malgache, Telma réaffirme son engagement à soutenir ce tournoi fédérateur.